Extranet
Rappel des gestes communs à tous les clercs, servants, à tous les catholiques.
D'après le "cérémonial de la sainte Messe à l'usage ordinaire des paroisses"
La génuflexion est une salutation ou révérence rendue à Notre Seigneur en passant devant le Très Saint Sacrement.
Le fidèle qui entre dans un église et s’est signé avec l’eau bénite est invité à se rendre en 1er lieu à la chapelle de la Sainte Réserve.
Devant l’Autel du Très Saint Sacrement, il effectue une génuflexion, avant d’aller éventuellement s’y agenouiller pour prier.
Quand il se retire , il effectue une 2nde génuflexion.
En reculant le pied droit et fléchissant le genou droit, jusqu’à ce qu’il touche le sol à proximité du talon gauche : on se relève aussitôt, sans aucune attente, et sans fléchissement de la tête et du corps.
Il faut veiller à être à l’arrêt et tourné dans le sens du Très Saint Sacrement, sans précipitation, en gardant le corps droit.
Il n’est pas opportun de relever de la main le devant de l’aube.
C’est la posture proposée comme appropriée pour la prière d’adoration.
2 sortes d’inclinations :
Sans précipitation et sans marquer de pause en position inclinée.
à l’arrêt et tourné vers la personne ou l’objet à saluer
Jointes, les paumes étendues, appliquées l’une contre l’autre, le pouce droit par dessus le pouce gauche en forme de croix.
A genoux, juste avant de se relever, il peut être opportun de tirer d’un coup de main sur le côté de l’aube si on risque de s’emmêler le pied dans l’habit en e relevant.
L’autre main est alors placée momentanément contre la poitrine.
Les mains peuvent être tenues autrement, selon l’usage, quand on est debout ou à genoux, au choeur.
Placer les mains libres sur les genoux joints, séparés, les paumes ouvertes posées de part et d’autre.
Il ne convient pas que ceux qui portent un habit liturgique s’assoient en croisant les bras, les pieds ou les jambes.