Extranet
Le prêtre ou le diacre les font depuis le siège.
Les laïcs ne les font pas depuis l’ambon.
Le diacre ou le prêtre invite l’assemblée à s’incliner pour la bénédiction.
Le prêtre chante l’oraison.
Il est d’usage en de nombreuses églises que les servants s’agenouillent pour recevoir la bénédiction ou bien qu’ils fléchissent le seul genou droit.
Ils se relèvent après avoir répondu “Amen”.
“Allez dans la paix du Christ”
Le diacre renvoie le peuple les mains jointes, tournées vers l’assistance.
Les servants se mettent en place ; ils saluent l’autel avec le prêtre et le diacre par la révérence requise.
Si le tabernacle se trouve ailleurs au sanctuaire, c’est vers la Sainte Réserve qu’on fait la génuflexion.
Le plus souvent il convient que tous les ministres et servants fassent la révérence ensemble, mais ils pourraient la faire deux par deux si c’est l’usage.
Ensuite on se retire à la sacristie comme on est venu, sauf que l’encensoir n’est pas porté à la sortie.
De retour à la sacristie, les servants se rangent sur les côtés pour laisser le passage au prêtre qui, avec le diacre, s’avance jusqu’au pied du crucifix ou de l’image de la sacristie, les servants tenant les chandeliers – le cas échéant – s’étant placés de part et d’autre ; ou bien si la croix de procession a été portée, elle est tenue devant le chasublier, tournée vers les ministres et les servants, avec les chandeliers de part et d’autre.
Alors le prêtre et tous saluent le crucifix ou l’image d’une inclination de la tête, puis les ministres et les servants saluent le prêtre.
Chacun s’efforce de garder le silence par respect pour la piété de tous et la sainteté de la maison de Dieu.
Ministres et servants peuvent se rendre au tabernacle ou devant l’image de Notre Dame pour passer un peu de temps en action de grâce, avant de se livrer aux rangements qui leur incombent et pour lesquels ils conservent leur habit liturgique.