Extranet
Le Notre Père est une oraison.
L’assistance joint sa voix à celle du prêtre pour la prononcer.
Après la conclusion “toi qui règne pour les siècles des siècles”, l’assistance répond “Amen.
Après avoir tourné la page du missel, le diacre passe à la droite du prêtre, en faisant la génuflexion.
Après que le prêtre ait chanté “que la paix du Seigneur soit toujours avec vous” et que l’assemblée ait répondu “et avec votre esprit”, et si c’est l’usage, le diacre dit, les mains jointes : “Dans la charité du Christ, donnez vous la paix”.
Le prêtre et le diacre se tournent l’un vers l’autre et donnent et reçoivent la paix du Christ.
La Paix est transmise de l’autel par le prêtre au diacre, le diacre au ministre ou servant qui la porte au clerc le plus digne de chaque côté du chœur, s’il y en a et à un servant de chaque côté du sanctuaire. chacun la transmet à son proche voisin.
Celui qui reçoit la paix s’incline d’abord au préalable devant celui qui la transmet.
Celui qui la donne pose ses mains sur la partie supérieure des bras, près des épaules, de celui qui la reçoit, ce dernier mettant ses mains sous les coudes de celui qui la donne, tandis que l’un et l’autre inclinent la tête en avant, légèrement à droite en s’approchant la joue gauche.
Celui qui la donne dit “la paix soit avec vous”, l’autre répond “et avec votre esprit” ou “Que la paix du Seigneur soit toujours avec vous”/Amen.
Enfin les 2 se saluent mutuellement par l’inclination profonde, les mains jointes.
Signification de la fraction : nous qui sommes nombreux, en communiant à l’unique pain de vie, qui est le Christ, devenons un seul corps (1 Co 10.17)
Dans la mesure du possible il revient au chantre ou à la schola, ou à un servant de lancer l’Agnus.
Le diacre retire la pale du calice.
Le prêtre rompt la sainte Hostie au dessus de la patène et laisse tomber un petit fragment d’hostie dans le calice.
Ordinairement, les servants et les fidèles s’agenouillent à la fin de l’Agnus Dei.
Si le diacre communie, il convient qu’il s’agenouille à ce moment sur le bord du marchepied.
A la prière “Heureux les invités…” l’assemblée répond : “Seigneur, je ne suis pas digne… en se frappant la poitrine.
Le chant de communion commence pendant que le prêtre communie. Sinon, après qu’il a communié et avant la communion des fidèles, le prêtre peut prononcer à haute voix l’antienne marquée au missel.
Le diacre reste à genoux jusqu’à sa propre communion.
Il est préférable que les servants restent également à genoux jusqu’à ce que le prêtre ait reposé le calice avant de se déplacer.
Le diacre reçoit la communion et l’administre aux autres.
Il peut lui incomber de prendre les Saintes Espèces pour donner la communion aux autres et pour consommer ce qui reste à la fin de la communion.
Les servants et l’assemblée communient soit à genoux soit debout après avoir fait le geste de révérence dû au saint Sacrement.
Le communiant reçoit la sainte Hostie sur la langue ou dans la main.
Il faut maintenir l’usage du plateau de communion pour les fidèles pour éviter que la sainte hostie ou quelques fragments tombent à terre.
Le plateau peut être confié à un servant placé à la droite du prêtre ou du diacre et tourné vers lui.
Autant de plateaux que de points de communion.
Il est très souhaitable que les fidèles reçoivent le corps du Seigneur avec des Hosties consacrées à cette même messe.
Si les Hosties proviennent du tabernacle, c’est au diacre qu’il incombe d’aller chercher le ciboire avec les Hosties déjà consacrées.
Les communiants se placent soit l’un à côté des autres soit les uns à la suite des autres.
Le prêtre peut se faire aider de ministres extraordinaires, acolytes institués, pour administrer la communion.
Si la sainte Communion est administrée sous les 2 Espèces, par intinction, le prêtre est accompagné à sa gauche par le diacre ou un acolyte institué ou un autre ministre extraordinaire avec le calice et le purificatoire.
Le diacre (…) tient le calice par le nœud ; de la main droite. Il le maintient juste à côté du ciboire tenu par le prêtre de la main gauche.
Le prêtre prend entre le pouce et l’index de la main droite une Hostie et en trempe une partie dans le Précieux Sang ; tenant l’Hostie trempée par dessus le calice (ou le ciboire), il La montre au communiant en disant : “le Corps et le Sang du Christ”. Quand le communiant a répondu “Amen”, il La dépose sur sa langue.
Si la communion est donnée sous les 2 Espèces en buvant au calice, le diacre (…) qui se tient à gauche du prêtre, montre le calice en disant “le Sang du Christ”.
Quand le communiant a répondu “Amen”, il lui tend le calice que le communiant approche de sa bouche de ses propres mains. Il le rend ensuite au diacre qui essuie le bord avec le purificatoire
Les portes flambeaux peuvent encadrer le prêtre.
Un servant ou un porte flambeau peut tenir également un plateau de communion.
Le porte-plateau se positionne à droite du prêtre ou du diacre qui administre la communion.
A la fin de la communion, s’il reste des Hosties, le porte-flambeau raccompagne le prêtre jusqu’à l’autel. S’il n’en reste plus, on évite de l’entourer de flambeaux ou de cierges allumés.
A la fin de la communion, le prêtre consomme aussitôt et intégralement lui-même à l’autel le Précieux Sang qui pourrait rester.
Les Hosties restantes sont soit consommées à l’autel, soit portées au tabernacle.
Le prêtre ou le diacre recueille soigneusement les parcelles du Corps du Christ qui resterait sur le corporal, puis le prêtre purifie les vaisseaux à l’autel ou à la crédence, selon son choix, ou bien le diacre ou l’acolyte institué les porte à la crédence et les purifie à cet endroit.
Un servant peut apporter au prêtre les burettes par l’anse. Il gravit les degrés latéraux, salue le prêtre par une inclination de la tête, verse sur les doigts du prêtre au dessus du calice du vin puis de l’eau, ou si c’est l’usage, uniquement de l’eau. Puis il salue le prêtre et ramène les burettes à la crédence.
Le prêtre peut choisir de ne pas faire verser l’ablution sur les doigts, mais simplement dans le calice.
Diacre et acolyte institué ne font jamais l’ablution à l’autel. Un servant aura déployé au préalable un corporal sur la crédence et y aura déposé les plateaux de communion sur les bords.
Le prêtre, le diacre ou l’acolyte institué peuvent effectuer la purification à la crédence.
Il ne convient pas que des servants non institués touchent les vases sacrés avant qu’ils aient été purifiés par le ministre ordonné ou l’acolyte institué.
Quand le prêtre ne consomme pas les Hosties consacrées restantes, il doit, après avoir consommé à l’autel le Précieux Sang qui resterait au calice, mais avant de faire la purification, mettre ces Hosties au tabernacle, dans le ciboire fermé de son couvercle et recouvert du pavillon.
Traditionnellement, il revient au diacre d’ouvrir la porte du tabernacle et d’y placer le ciboire, après quoi il fait la génuflexion, ferme la porte à clé et retire la clé.
Des portes flambeaux peuvent entourer le ministre sacré portant le Très Saint Sacrement au cours du trajet.
S’ils sont 2, ils entourent le ministre sacré ; s’ils sont 4, 2 le précèdent et 2 le suivent.
Quand la purification du calice a lieu à l’autel, un servant y apporte le voile de calice et si elle est employée, la bourse.
Le prêtre ou le servant remet le purificatoire, la patène et la pale sur le calice et recouvre le tout du voile, puis il plie le corporal et le dépose (dans la bourse) sur le calice, que le servant rapporte des 2 mains à la crédence.
Des servants rapportent à la crédence le ciboire et le plateau de communion, ainsi qu’ordinairement le missel sur son pupitre ou coussin.
Lorsque la purification a lieu à la crédence, ils y rapportent de même les objets laissés sur l’autel.
Un servant peut présenter au prêtre le missel pour l’oraison de post communion.
Le prêtre peut également chanter l’oraison depuis l’autel.
En ce cas les servants n’auront pas retiré le missel de l’autel mais l’auront placé au milieu, à la bonne page.