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Extranet

Les gestes communs

Servant F

Rappel des gestes communs à tous les clercs, servants, à tous les catholiques.
D'après le "cérémonial de la sainte Messe à l'usage ordinaire des paroisses"

La génuflexion

Quel sens ? 

La génuflexion est une salutation ou révérence rendue à Notre Seigneur en passant devant le Très Saint Sacrement.

Le fidèle qui entre dans un église et s’est signé avec l’eau bénite est invité à se rendre en 1er lieu à la chapelle de la Sainte Réserve. 
Devant l’Autel du Très Saint Sacrement, il effectue une génuflexion, avant d’aller éventuellement s’y agenouiller pour prier. 
Quand il se retire , il effectue une 2nde génuflexion. 

Comment faire ?

En reculant le pied droit et fléchissant le genou droit, jusqu’à ce qu’il touche le sol à proximité du talon gauche : on se relève aussitôt, sans aucune attente, et sans fléchissement de la tête et du corps. 

Il faut veiller à être à l’arrêt et tourné dans le sens du Très Saint Sacrement, sans précipitation, en gardant le corps droit. 

Il n’est pas opportun de relever de la main le devant de l’aube.

Quand faire la génuflexion ?

  • Chaque fois qu’on se rend en la présence du Très Saint Sacrement et chaque fois qu’on se retire.
  • Chaque fois qu’on passe devant le lieu où il se trouve.
  • Quand on s’avance pour communier, si on ne communie pas à genoux.
  • Devant la Sainte Croix de la célébration du Vendredi Saint jusqu’au début de la Vigile Pascale.

Quand l’omettre ?

  • Cas d’infirmité physique.
  • Quand on s’avance en procession et que l’on passe devant le lieu de la Sainte Réserve.
  • Celui qui porte le Très Saint Sacrement quand il Le tient en main.
  • Celui qui tient la croix de procession s’abstient toujours de génuflexion.
  • Les servants qui portent les flambeaux qui illuminent la croix s’en abstiennent également.
L'agenouillement

L’agenouillement

Quel sens ? 

C’est la posture proposée comme appropriée pour la prière d’adoration. 

Quand s’agenouiller ?

  • En prière, devant le Très Saint Sacrement.
  • Pour communier.
  • à toutes les messes de Noël et de l’Annonciation durant les paroles du Credo : “par l’Esprit Saint, Il a pris chair de la Vierge Marie et s’est fait homme”.
  • pour recevoir la bénédiction finale. 

 

Les inclinations

Les Inclinations

2 sortes d’inclinations : 

  • Inclination de la tête : en inclinant la tête jusqu’à ce qu’on regarde vers ses pieds
  • inclination profonde ou inclination du corps : en penchant le torse depuis la ceinture

Sans précipitation et sans marquer de pause en position inclinée.  

à l’arrêt et tourné vers la personne ou l’objet à saluer

Quand faire l’inclination profonde ? 

  • devant l’autel, quand le Très Saint Sacrement ne s’y trouve pas.
  • devant l’évêque, quand on s’approche de lui pour accomplir un service et lorsqu’on se retire.
  • avant et après l’encensement d’une personne ou d’un objet, à l’exception de l’autel et des oblats
  • à toutes les messes de Noël et de l’Annonciation durant les paroles du Credo : “par l’Esprit Saint, Il a pris chair de la Vierge Marie et s’est fait homme”, si on ne s’agenouille pas.
  • devant celui de qui on va recevoir la paix, puis mutuellement une fois la paix donnée.
  • pour recevoir la bénédiction finale, à moins qu’on ne s’agenouille. 

Quand faire l’inclination de la tête ? 

  • devant le crucifix ou l’image dominant la sacristie, avant de se rendre à l’autel ou au choeur.
  • quand sont prononcés les noms de Jésus, de la Bienheureuse Marie, de saint Joseph, ou du saint en l’honneur de qui est célébrée la messe. Quand est prononcé le Nom du Souverain Pontife dans le canon.
  • quand on se présente devant le célébrant pour lui tenir le livre, lui présenter un objet ou lui laver les mains et en le quittant.
  • avant de commencer une action déléguée par le célébrant, comme pour lui demander permission.
  • le cérémoniaire salue chaque ministre ou clerc qu’il doit accompagner en particulier. 
  • entre servants en signe de mutuel respect et reconnaissance en échangeant des objets entre eux. 
La tenue des mains

La tenue des mains

En position debout ou à genoux :  

Jointes, les paumes étendues, appliquées l’une contre l’autre, le pouce droit par dessus le pouce gauche en forme de croix. 

A genoux, juste avant de se relever, il peut être opportun de tirer d’un coup de main sur le côté de l’aube si on risque de s’emmêler le pied dans l’habit en e relevant. 
L’autre main est alors placée momentanément contre la poitrine. 

Les mains peuvent être tenues autrement, selon l’usage, quand on est debout ou à genoux, au choeur. 

En position assise : 

Placer les mains libres sur les genoux joints, séparés, les paumes ouvertes posées de part et d’autre. 

Il ne convient pas que ceux qui portent un habit liturgique s’assoient en croisant les bras, les pieds ou les jambes.

La célébration ordinaire de la Messe

Attribution des aubes

Les objets liturgiques