Article publié le 11 avril 2022
Chers Frères évêques,
Madame et Messieurs les membres du Secrétariat général,
Mesdames et Messieurs les directrices et directeurs des services nationaux,
Mesdames et Messieurs les journalistes,
Mesdames et Messieurs, chers amis, qui nous écoutez,
L’urgence climatique, l’urgence de la situation écologique, l’urgence de la dégradation mesurable de la biodiversité, nous les avons ressenties à travers nos invités diocésains, pendant le premier jour de notre assemblée. Le rapport du GIEC, publié il y a quelques jours, a établi, s’il en était besoin qu’il était trop tard pour atteindre l’objectif fixé à Paris lors de la COP 21 de limiter le réchauffement à 1, 5° par rapport au début de l’ère industrielle. Des actions sont ou seraient encore possibles mais elles exigent un changement drastique de nos modes de consommation, de production, de transport, de chauffage… Nos sociétés y sont-elles prêtes ? Y sommes-nous prêts, nous réunis ici pour ce discours de clôture ?
Or, nous l’avons réalisé une fois encore, ce sont certains pays parmi les plus pauvres de la planète et, dans ces pays, les plus pauvres de leurs habitants, qui vont subir les premiers les conséquences [Lire la suite sur le site de la CEF]